samedi 19 octobre 2019

SUS AUX NARCOS A RIO de JANEIRO

Depuis le 22 novembre, Rio de Janeiro est le théâtre de violents affrontements entre les forces de l'ordre et les trafiquants de drogue, ces derniers ayant lancé une vague d'attaques à la suite de leur expulsion des favelas. Dimanche, 2.600 policiers et militaires brésiliens ont mené un vaste coup de filet dans le Complexo do Alemao, un ensemble de quinze favelas. Après des années d'immobilisme, les autorités de Rio semblent décidées à pacifier la ville qui accueillera le Mondial de football en 2014 et les Jeux olympiques de 2016.




1 Un poste de police criblé de balles, dans le quartier Del Castilho, le 23 novembre 2010.  REUTERS/Sergio Moraes

2 Une fillette et sa mère assistent depuis leur maison à une opération de police, dans la favela Mandela, le 23 novembre 2010.  REUTERS/Sergio Moraes

 3 Un policier marche près d'un bus incendié par les narco-trafiquants, dans le quartier de Vicente de Carvalho, le 24 novembre.  REUTERS/Sergio Moraes
4 Des policiers patrouillent dans la favela de Jacarezinho, le 24 novembre 2010.  REUTERS/Sergio Moraes

6 Des blindés de la marine patrouillent pendant une opération dans la favela de Vila Cruzeiro, le 25 novembre. REUTERS/Sergio
5 Un policier court lors d'une opération dans la favela de Jacarezinho, le 24 novembre 2010.  REUTERS/Sergio Moraes

7 Des policiers prennent position lors d'un échange de tirs avec les narco-trafiquants à Vila Cruzeiro, le 25 novembre 2010.  REUTERS/Bruno Domingos

 8 Un policier fouille un homme lors d'une opération à Vila Cruzeiro, le 25 novembre 2010.  REUTERS/Sergio Moraes

9 De la fumée s'élève de la favela de Vila Cruzeiro lors d'un échange de tirs avec les narco-trafiquants, le 25 novembre 2011.  REUTERS/Bruno Domingos

10 Des membres présumés d'un gang de la drogue prennent position lors de l'opération policière dans la favela de Grota, le 26 novembre.  REUTERS/Sergio Moraes

11 Un homme blessé par balle (au centre) est aidé par des habitants, à Vila Cruzeiro, le 26 novembre. REUTERS/Bruno Domingos

13 Un soldat prend position lors d'une opération menée dans la favela d'Alemao, le 27 novembre 2010. REUTERS/Sergio Moraes
 14 Des militaires et des policiers prennent position lors d'une opération à Alemao, le 28 novembre 2010. REUTERS/Sergio Moraes

15 Une vue d'ensemble de la favela d'Alemao pendant l'opération policière, le 28 novembre 2010.  REUTERS/Bruno Domingos

 16 Un policier arrête un suspect dans la favela d'Alemao, le 28 novembre 2010.  REUTERS/Bruno Domingos

 17 Un hélicoptère de la police survole le Complexo do Alemao après la confiscation de cocaïne par les autorités, le 28 novembre 2010.  REUTERS/Sergio Moraes

18 Un policier saisit des paquets de marijuana lors de l'opération à Alemao, le 28 novembre 2010.  REUTERS/Bruno Domingos

19 La police arrête un suspect lors de l'opération dans la favela d'Alemao, le 28 novembre 2010.  REUTERS/Sergio Moraes

20 La police quitte la favela d'Alemao après l'assaut du 28 novembre 2010.  REUTERS/Bruno Domingo

21 La police hisse le drapeau brésilien au point culminant du Complexo do Alemao, à la fin de l'assaut du 28 novembre 2010.  REUTERS/Sergio Moraes

dimanche 1 novembre 2015

LE PONT SUSPENDU CAPILANO

La Capilano (en anglais : Capilano River)1 est un cours d'eau qui coule dans le district de Vancouver Nord, du nord vers le sud, depuis sa source dans les North Shore Mountains (contreforts de la Chaîne Côtière) jusqu'à son embouchure dans la baie Burrard en face du parc Stanley de Vancouver en Colombie-Britannique au Canada.

Le pont suspendu Capilano
Le tracé de ce fleuve passe à travers une région de forêt tempérée humide et il suit le fond d'un canyon dont les parois granitiques dépassent par endroit une hauteur de quarante mètres. Un célèbre pont suspendu, le Capilano Suspension Bridge, d'une longueur de 136 mètres traverse ce canyon à une hauteur de soixante-dix mètres au-dessus du fleuve.